Droits Internationaux Humains allant de ceux Prioritaires de l’enfance, Secondaires la femme et Tertiaires l’homme et non l’inverse...
Un nombre de femmes déclarent être victime de toutes sortes de maltraitance de la part d’un « groupe », sans généraliser, de gynécologue et d’obstétricien ci et là dans le monde…
Cette page les concerne tout en les informant de leurs actions médicales possibles et de leurs droits juridiques!
De la cause à l’effet ou de causale conséquence :
-Toute femme a le droit « Moral » de se faire accompagner par son partenaire, concubin ou évidemment son mari en toutes auscultations médicales ou au moins celles relatives à et en son corps défendant dans sa part intime…
-Toute femme en ce sens a le droit par défaut de demander à une infirmière de son choix de l’accompagner dans le cadre d’une consultation auprès soit du gynécologue ou de l’obstétricien…
Ceci est complémentairement à l’obligation morale quand il s’agit d’une adolescente mineure…
L’infirmière ou l’infirmier faisant parti du « corps » médical soit le gynécologue soit l’obstétricien ne sont pas censés être gêné durant une consultation mais d’y voir une présence d’assistance médicale confirmée : un droit de la patiente ou du patient.
Le droit d’être assisté par un avocat administratif, prudhommal et pénal est exactement le même que celui médical : ceci est non pas une question mais une réponse d’impartialité dans ce qu’elle a de juste !
L’impartialité de la justice s’applique à toute spécificité dans ses « vocations »…
-En droit pénal, une personne tombant sous le coup d’une quelconque présomption à le droit de se faire représenter, conseillée ou « assistée » par un avocat…
-En droit médical ou sanitaire, une personne a impartialement exactement le même droit pénal et juridique et a donc le droit d’être assisté pour l’équivalent avocat de fonction spécifique se rapportant à ce à laquelle sa démarche se rapproche, en l’occurrence celle d’une présomption sur sa santé « bonne ou mauvaise » qu’elle cherche à lever auprès d’un spécialiste concerné qui, dans ce cas, n’a pas d’autre appellation qu’une infirmière ou si l’éventualité le permet un infirmier…
Ne soyez pas étonné de savoir qu’une infirmière ou un infirmier à, dans certaines circonstances liée à la spécificité : une fonction d’avocat mais d’ordre médical…
Des mauvais traitements sont rapportés, certaines brutalités, des atteintes à la morale sous la forme de remarques désobligeantes ou de langage « cru », des conseils de dissuasion ne concernant en rien les personnels soignants en particulier sur « L’IVG » n’ont pas à se faire entendre du tout le personnel médical…
Le sujet de l’IVG n’a pas à être ni mis en débat ni même en cause allant du personnel soignant vers et envers une patiente, simplement parce que ce n’est pas leur domaine tout comme : Le personnel soignant n’a pas à faire dans les naissances forcées… Le personnel soignant outrepasserait sa fonction auprès de sa patiente…
L’IVG est un débat du couple concerné à moins et par défaut du choix de la mère couveuse.
L’État comme les États n’ont pas à intervenir sur ce choix individuel ou de couple : l’État n’est pas la Morale individuelle d’une personne ni même celle de toute la société son droit que cet État doit protéger.