I.R.V.G_I.V.G
Interruption Réflexe Volontaire de Grossesse : antérieur à l’Interruption Volontaire de Grossesse de la mère couveuses…
« Fausse couche… : Avortement… »
L’Innée aussi procède parfois à déclencher un processus d’avortement sous la forme ou apparence d’une fausse couche… « Elle a ses lois qui l’autorise aussi avant les votre! » Elle a donc des lois l’autorisant à l’avortement dans certaines circonstances et d’évitement…
Dans la sélection naturelle on trouve aussi des causes et une raison lesquelles l’arrêt d’une grossesse peut se produire ou se décider en totale indépendance de la mère couveuse… Ceci signifie que « l’IVG » n’est pas seulement une décision ou un choix imputable qu’à la femme seulement : l’Innée aussi a en son pouvoir ce choix « IRVG » bien avant sa mère couvence…
Dans, au moins de l’ovule à 3 voire 4 mois de grossesse, le risque d’avortement naturelle peut être décidé en cas de défaut dans le processus de création de l’enfant ou jusqu’à un sérieux fœtus : rien n’est décidé avant ou durant la période embryonnaire…
Le rejet durant un processus de croissance intra utérin peut être violent ou il n’est pas conseillé, si celui-ci pouvait se prévoir avant rejet » de l’empêcher : il faut laisser aller le choix de retrait ou IRVG de l’Innée se faire! Elle a sa raison qui pour le moment dépasse la science médicale…
Parmi des causes de rejet embryonnaire, il y a les défauts de dimensionnement de l’enfant ou des défauts dans le concept organique ou encore et en particulier un échec de construction du cérébral…
Il y a des naissances d’enfants mal constitués lesquelles on aurait préféré l’IRVG sous la forme d’une fausse couche mais l’Innée ne se rend pas compte systématiquement de chaque défaut suffisamment grave de stopper une croissance… On aimerait dans le sens d’éviter une vie calvaire à l’enfant…
Le but de cette page consacrée à l’IVG et aussi la fausse couche est d’en décrire des cas très particuliers qui ne sont dramatiquement pas compris à ce jour ou que la science n’a pas encore découverts…
La circonstance de la « tentative » de reproduction par « le viol » peut engendrer un effet d’IVG dont la conséquence peut être dramatique pour la femme violée : l’Innée peut la poussé « intérieure réflexe » au suicide et la poussant conduit à l’IRVG de l’enfant par arrêt de croissance par la mort de la mère…
L’innée n’a pas l’intention de pousser facilement au suicide telle ou telle femme violée mais par défaut d’une fausse couche ; par rejet dans la sélection naturelle : elle peut malheureusement y être contrainte !
Durant bien des guerres, des troupes faites de légions d’homme, nombreuses sont les femmes ayant subi ces guerres en se faisant violer : ne serait-ce que le fait de viol à lui seul sans grossesse peut déjà pousser une femme au suicide… Quand celle-ci, en plus du viol se retrouve enceinte alors le risque de suicide augmente… Une femme violée ne peut en aucun cas couver un enfant issu du viol : encore moins en avoir la garde si la grossesse « forcée » va à son terme… Il y a un risque de rejet « psychologique » de « la mère » vis-à-vis de l’enfant durant sa vie tout comme il y a de sérieux risque mortel de l’enfant devenu adulte vis-à-vis du « père » violeur… Les enfants n’ont jamais accepté être issu du viol de leur mère : il n’accepte jamais le violeur de leur mère comme étant leur père… Ils sont pour une part : orphelin père de naissance !
Dans l’après naissance d’un enfant issu du viol, il peut se produire des accidents domestiques que certaines femmes n’acceptant pas d’être mère de cette façon ont domestiqué volontairement : méfiez-vous de ces avortement mais dans l’après naissance… Ils ont lieu aussi !
Le sujet sur l’Interruption Volontaire de Grossesse « IVG » peut ici encore être plus développé mais laissons la morale humaine actuelle répondre à ces quelques impertinences dans cette seul simple page en apparence…
Cependant qu’il ne faudrait pas créer des lois interdisant ce que l'homme, la femme jusqu’aux gouvernes ne comprennent pas…
Il ne faudrait pas aussi exposer des enfants à une croissance à risque soit pour sa vie d’enfant jusqu’à sa réponse à sa vie forcée dans l’arbitraire et l’oubli que l’enfant veut grandir entre sa parenté… Ceci est son droit moral !
Il ne faudrait pas non plus exposer l’enfant à des IVG fait par des mains maladroites « auto-IVG ou par tiers aidantes »…
Les Etats n’ont pas le droit de contester une décision « médical » car ce n’est pas leur domaine de contester bien des aspects de ce qu’est cette science qu’on aime rejeter parce ce qu’elle dérange appelée : La psychologie…
Le psychologue n’est pas un gynécologue mais il a quand même son mot à dire par concertation avec sa ou ses patientes sur le sujet, si réclamé, de : l’IVG… Il peut détecter un risque de mort soit de la mère couvant soit vis-à-vis de l’enfant mais dans l’après naissance ! Les risques sont détectable avant alors on ne laisse pas une femme violée « entre autres… » réclamant un droit à l’IVG la forcer à couvé de force une vie...
Le crime ne crée pas la vie !
Implication et répercutions :
- Toutes femmes forcées à couver l’enfant par tiers ou lois dans sa gouverne a le droit de réclamer une pension pour l’enfant issu d’une naissance forcée ! Soit tiers soit un Etat peut être contraint sous décision de justice de verser une pension à l’enfant lequel lui-même une fois adulte a et aura le droit de réclamer mais pour toute sa vie laquelle ou l’aura contraint de vivre par rapport à sa condition de naissance lequel celui-ci n’a pu s’en défendre en raison de la faiblesse de sa taille laquelle on abuse…
Les droits de l’enfance n’autorisent pas à le faire naître ou exister par la force ou par des lois qui deviendraient aussi bien sa mère que son père politico juridiquement ou de parents chimériques de même "qu’il n’est pas nécessaire qu’un enfant perde ses parents pour qu’il soit orphelin quand même"…
L'Innée!