Le Peptide dans une autre fonction possible que celle "antigénique"...
« Relance sur le VIH pour exemple car concerné bien que bien d’autres corps étrangers le sont tout aussi… »
Vers 1986 ou 1987, il a été tenté d’employer des « fragments » de la structure de coque extérieure englobant le Virus de l’Immuno Déficient Humaine « VIH » d’une manière brute, éclatée, anarchique et aléatoire en « agrégats »… … Hors, si le « principe » peut être bon la technique est mauvaise…
Il n’y a pas, à partir de l’action immunologique, de réactivité mnémo immuno compétente constituée à partir soit de déchets ou de fragment aléatoire générant ou constituant des mémoires réactive dirigées vers et contre le corps étranger constitué composant moléculairement la coque ou membrane cellulaire…
Il y a une possibilité qui elle est plus technique consistant d’abord à transformer des fragments de la structure de la coque d’un virus ou d’une bactérie en : Peptide de forme « harmonisée » structuré « thermodynamiquement » de façon à lui donner une forme précise employable par des cellules spécialisées immunologiques et présentables par elles-mêmes en tant que « fragment appartenant à une structure de coque composant un corps considéré étranger à rechercher et à détruire… Peptide de coque ou structure qui se distingue du peptide mais antigénique disposé sur dessus la coque d’un virus ou d’une bactérie… Un peptide de coque ou de structure se distingue immunologiquement de celle antigénique car : Il ne tient pas compte de l’antigène de surface toutes variations confondues…
Ceci évidemment mérite et doit être vérifié par la science afin de parfaire l’avancée de celle-ci dans le domaine du « fonctionnement » du système immunitaire « immunologie »…
Par exemple appartenant connu sur le fonctionnement du système immunitaire :
Un « macrophage » attrape un virus pour ensuite le « concasser » pour en extraire un peptide, « il le thermoforme ou lui donne une forme précise… », afin de l’arrimer » à la surface de son récepteur de présentation à d’autres cellules immunologiques afin que le corps virale ou bactérien soit recherché « identifié » pour être détruit… « Peptide d’identification structurelle ou du corps non antigénique… »… Le système immunitaire a lui aussi besoin de comparer des structures membranaires appartenant aux cellules « Soi » par rapport à celles structures membranaires « bactérie » ou de coque « virus » mais dans ce cas en « Non Soi »…Qui n’entre pas dans la composition moléculaire structurelle des cellules réparties composant dans ce cas l’organisme Humain… Si cette distinction fait partie de la défensive immunologique d’un organisme comme celui humain alors : il y a forcément un concept immunologique peptidique parallèle à celui antigénique mais de structure permettant d’identifier pour distinguer une structure de corps Non Soi par rapport à celle « Soi » que le système immunitaire cherche à défendre.
Dans le schéma ci-dessous représente d'abord une question à la communauté scientifique spécialisée en "Immunologie"...
Comme suit aussi en mode texte "?" :
Y a-t-il un second peptide qui lui permet à certaines cellules immunologiques d'identifier un corps étranger sans que celui-ci soit en contacte directe avec par exemple Un lymphocyte soit TCD8 ou encore Tueuse NK. ?
La question peut sembler étonnante cependant que l'auteur de ses publications veut la réponse quand même! Prêtez-moi vos yeux d'observations en laboratoire...