Ce petit graphe montre qu’il y a un décalage entre la cause, en orange, du « qui-vive » de ou des enfants en bas âges et réveillant souvent leur mère la nuit et l’amorce ou le début de l’apparition du " ronflement ", en jaune : quand il s’agit ici de la cause « Organique » par déformation de la base « fond » de la langue et le relâchement des muscles dans la zone fond de la gorge…
Appuyé par cette manie ou mauvais réflexe dans le sommeil quant à dormir longuement sur le dos…
Il y a trois positions de sommeil pour bien dormir : position « fœtale » gauche ; sur le dos mais ensuite position « fœtale » droite le tout durant chaque nuit…
Il y a des tendances à être trop souvent sur le dos par rapport aux deux positions fœtales qui s’imposent aussi la nuit…
Evitez de « peser » sur le poumon en dormant trop longtemps mais sur le ventre : ceci n’est pas différent de cette femme s’endormant sur le ventre de son homme… Il l’a soulève en respirant générant un second effort de son muscle diaphragme : la contrainte et l’effort de ce muscle est plus élevé pouvant générer de « l’apnée » durant le sommeil…
L’apnée prolongée du sommeil est connue pour ses risques : le risque élevé d'apnée se situe quand on dort sur le ventre… Se risque malheureux débute "subitement" depuis le moment naissance...
On peut y voir le principe des trois tiers : le tiers fœtale côté gauche ; le deuxième tiers sur le dos et le troisième tiers en position fœtale droit et celle sur le ventre est à éviter car elle entraine une gêne respiratoire…
Ces mouvements de positionnement la nuit sont imputables en votre réflexe et sans vous réveiller… La gravité terrestre à sa part en cause quant à cette façon de dormir avec ces positions…
Dans le graphe, on comprend que la femme est plus « intempestivement » réveillée la nuit que l’homme du fait qu’elle est assujettie au « Qui-vive » vis-à-vis de l’enfant dès son jeune âge mère et vie de femme…
Il y a une répartition du réflexe neuro-cérébrale dans l’entre la femme et l’homme : pour elle « sommeil de plume » ; pour lui « sommeil de plomb »…
La femme est plus facilement réveillée la nuit que l’homme…
Ceci est dû à cette écart est contrainte entre la femme et l’homme de poursuivre « la couvée » de l’enfant dans l’après naissance durant sa période en bas âge…
La présence de la couleur « orange » dans la zone période ou âge de l’enfance et adolescence est pour indiquer que les problèmes de sommeil se situent à tous âges dès l’enfance parmi des bons sommeils pour d’autres… Ceci pour indiquer que le manque ou mauvais sommeil peut apparaître dès l’enfance : même si l’enfance aussi bien pour une fille qu’un garçon est assujettie au sommeil de « plomb »… C’est à l’âge « adulte » quand il est question d’une enfance en bas âge alors l’effet sommeil « de plume » commence pour la mère…
Les deux phases importantes du sommeil sont : la phase sommeil « profond » cyclique lent et la phase « paradoxale » intermédiaire avec ses périodes cycliques de rêves…
Quand ces deux phases sont remises en question d’une manière répétitive alors la personne fatiguera plus que se reposer…
- Quand la phase de sommeil profond est plus atteinte que le sommeil paradoxal alors la personne subit l’effet fatigue le jour…
- Quand la phase paradoxale est atteinte alors la personne subit l’effet défaut de gestion de sa mémoire : la qualité quand à mémoriser les choses de la vie de chaque jour « son instruction aussi » est affectée au fur et à mesure des sommeils répétés cassés ou fragmentés affectant l’organisme dont le cérébral d’une manière globale…
- Quand la personne se réveille durant le sommeil profond ou quand il y a une cassure durant la phase sommeil profond : le repos de l'organisme est en cause…
- Quand la personne se réveille durant la phase de travail paradoxale à effet de rêverie alors : c’est la mémoire « en plus » qui elle sera affectée…
Tous rêves « paradoxal » sont forcément associés au travail dans le bloc neurones mémoire et à sa bonne gestion afin d'entretenir une cohérence mémoire générale…
Des mauvais sommeils provoquent une perte « accentuée » des souvenirs « dans le vécu » ainsi que dans l’apprentissage « l’instruction » d’une manière irrémédiable ou un effet de difficultés d’accès et des pertes se font ressentir…
Des tries dans les souvenir sont systématiquement effectués chaque nuit durant la phase sommeil paradoxal dont l’activité provoque le concept d’un ensemble de « scénario onirique» dont « la logique » et basée sur les jours, semaine voir mois précédent dans votre vécu…
Il y a un sérieux décalage entre le traitement des souvenirs dans le cérébral et le moment mise en place de chacun…
Par exemple, un souvenir perdu d’il y a 6 mois allant jusqu’à près d’un an peut ressurgir parce que le cerveau a mis bien des mois pour parvenir à mettre en place ce souvenir d’une manière accessible…
Ce phénomène provient du temps que mettent les informations stockées dans la zone intermédiaire « la zone collectrice » se situant entre « la mémoire instantanée » et le bloc neurones mémoires en accès courant ou archive accessible…
La capacité de trie d’informations s’étend sur au moins plusieurs mois en arrière jusqu’à leurs mise en place « fixation » mémoire…
Durant la phase du sommeil paradoxal, il y a un effet de mesure et de fonctionnalité afin d’entretenir les bons fonctionnements « organiques » en général et en particulier : la capacité de la reproduction…
Les réactions organiques aussi bien de l’homme que de la femme durant les rêves sont une des conséquences de mesure et entretien de la fonction de reproduction : visible chez l’homme sous la forme d’érection nocturne durant les phases de rêves « sommeil paradoxal »… Ceci est équivalent chez la femme mais peut visible mais de-même…
Répercussions parmi d'autres :
-Risques de problèmes cardiaques allant jusqu’à « à force et répétition » : l’arrêt…
Chez la femme, le risque d’infarctus augmente vers les 35 à 40 ans chez celles ayant eu de un à plusieurs enfants : quand celle-ci a fréquemment été réveillée un grand nombre de fois la nuit par l’effet « Qui vive »… Dire qu’une des causes importantes, non pas toutes les causes mais pour une bonne part, les mauvais sommeils et ses effets de manques de sommeil conduisent à une sérieuse prédisposition à l’infarctus : c’est un effet secondaire à ne pas négliger…
Répartir l’effet « Qui vive » dès le premier enfant et les suites entre l’homme et la femme serait un bon « réflexe »…
Pour enchaîner :
- Risque, « générateur » et « incitateur » de comportement suicidaire…
Mal dormir répétitivement, affecte le système nerveux et son « dynamisme » : impliquant les pensées, la façon de voir les choses et générant des comportements aussi bien dangereux pour Soi-même que les autres…
L’association d’un métier difficile plus l’enchainement de mauvais sommeils répétés devient inquiétante pour chaque personne exposée…
- Trouble du comportement :
« L’impulsivité » à caractère violent…
« Humeur » très affecté allant jusqu’au « Lunatisme » passager…
Trouble de la vue : « neuro optique »…
Les yeux « organiquement » ne sont pas toujours en causes dans des problèmes de vues : un cérébral affecté alors l’aire visuelle comme d’autres aires du cérébral aussi…
-Perte prononcée de « l’attention » dans ce qu’il y a autour de vous ainsi que des difficultés à suivre une conversation et de lire compréhensiblement un livre quelconque…
- Trouble de la mémoire : difficulté en « collectant » des informations le jour que celles-ci : soient correctement « triées » la nuit et bien « réparties » parmi les neurones mémoires…
Difficulté de se rappeler : La mémoire en est affectée « difficulté de bien mémoriser » allant jusqu’à des pertes ou « trous » de mémoire grave…
-Il y a risque contre les enfants du fait que le système nerveux est affecté rendant « violent » un des deux parents : une petite gifle transformée en grosse frappe par exemple par lui ou par elle…
Bien des sons et des cris devenant « agaçant » ou agressif les deux générant de la violence quand à faire taire les petites personnes les émettant…
Des sons « aigus » devenant sons criards…
La musique appréciée devenant agaçantes car un besoin de silence apparaît chez les personne « fatiguées »…
Des femmes comme des hommes peuvent frapper leur enfant parce qu’il émet des petits cris d’amusement qui ne sont pas du tout gênant d’ordinaire mais transformés en agacement dû au manque de sommeil ou à bien des sommeils brisés…
Mal dormir fait "psychologiquement et donc comportementalement" des dégâts allant jusqu’à atteindre les enfants…
Cette personne adulte ayant la possibilité de bien dormir ses nuits alors un calme lui revient et un bonheur pour l’enfant ou les enfants réapparaît…
Bien « des colères » non justifiées mais n’impliquant que le manque de sommeil « réparateur » baisse en intensité : dans le couple aussi…
Est-ce que mal dormir peut entrainer des divorces : ceci est envisageable… Ce risque ne peut pas faire zéro…
Bien que la répercussion d'un sommeil enchainant des réveils intempestifs cassant, brisant ou hachurant chacune de vos nuits n'entraine pas systématiquement le "processus neuro dégénératif d’Alzheimer"... Il est bien cofacteur déclencheur "parmi un potentiel d'autres cofacteurs" mais pas le facteur « de cause » impliqué dans cette maladie : Son incidence n'est pas si élevé que ça... Nettement moins de 1% de la population déjà "prédisposée" peut être victime de ce cofacteur déclencheur... Si la « cause » est unique ses facteurs déclencheurs sont multiples…
- Il a été publié " par une équipe de l’École de médecine de l’université Washington à Saint-Louis (U S A)" l’incidence imputable aux nuits de sommeil cassés ou fragmentés sur la maladie neurodégénérative d’Alzheimer… Ceci est une "remarque" sur l'implication de l'effet "sommeil brisé fréquent répétitivement " mais cette remarque ne démontre pas directement, pour le moment, la cause de la maladie neuro dégénératif d’Alzheimer... Ceci n'est pas encore démontré en raison d'une autre "cause" faisant l'objet d'une description dans ce site... Parler de "cofacteur" déclencheur c'est envisageable pour une petite partie de la population victime des "brisures" de sommeil répétitive chaque nuit : mais il ne s'agit pas du "facteur" de cause à effet de la maladie d’Alzheimer...
Le cofacteur « sommeil brisé ou fragmenté » est d'intensité basse ou faiblement déclenchant car beaucoup trop de "femmes" seraient touchées par ses effets...
Facteur : qui génère la cause…
Cofacteur : qui Co assiste ou se fait Complément d'une cause augmentant le risque déjà présent… Qui l’accentue mais n’en est pas la cause pour autant…