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La violence dans l'autisme et ses effets..."
Tout effet secondaire a forcément une cause antérieure à l'effet de même que les effets générés traiter de cette façon n'est pas lutter ou soigner sa cause : ce qui, à tort, fait durer l'effet...
Un après...
Le mari et sa femme...
Un avant...
La mère comme le père et l'enfant...
Une précision qui à ses conséquences et qui, eux aussi : provoquent ou intensifient des ruptures comme des blessures... Une précision à souligner!
Le long de la croissance de l'enfant, il lui arrive de rencontrer : la gifle de la mère ou du père...
Peut-être n'est-il pas conseiller de frapper l'enfant sans chercher à connaître la cause de l'effet 'après" violence...
Il y a les bons gestes comme il y a aussi les mauvais gestes...
Y aurait-il des parents qui, sans le comprendre ni le savoir, frappent des enfants autistes : un autisme sourd ou discret ou dissimulé derrière des masques d’une fausse acceptation ou de complaisance suffisante...
Y aurait-il un peu plus de garçon que de fille frappée durant leur enfance ? "L'autisme enfant touche plus les garçons que les filles..."
Il y a l'éveille de l'enfant dans l'après naissance comme "le semi éveille..." aussi que " le rejet éveillé..." ...
Peut-être faut-il blâmer ces frappent malheureuse ou le plus souvent n'ayant pour cause violente : l'incompréhension de l'enfant et ses réclamations dans son exclamation vis-à-vis de soit sa mère soit son père ou les deux...
L'autiste est confronté lui-même à une violence intérieure qu'il a tendance à extérioriser avec cette conséquence d'en recevoir des coups comme : la dite gifle... Un ou une autiste peut agacer ses parents avec pour conséquence ce genre de riposte plutôt que de cherche à évacuer sa violence autrement... Un autrement à chercher! La gifle n'est surement pas la réponse qu'aimerait l'enfant!
Le choc d’une gifle peut-être aussi dangereux qu’un coup de poing au visage donc la tête… La violente accélération du mouvement de la tête est assimilable au syndrome de l’enfant secoué… Les conséquences sont les mêmes sauf que pour la gifle comme le coup de poing : le mauvais geste semble « anodin » et passe facilement inaperçu quant au risque en général…
Les formes de violences dans l'autisme dans ses multiples expressions de sur le Soi-même à vers sur les autres...
-Parmi les « théories » recherchées à ce jour sur la cause de l’autisme, « inconnue » du monde scientifique actuellement, il y a une très forte présomption sur l’effet d’extraction à expulsion du corps de la femme de l’enfant naissant… A moins qu’il s’agisse tout simplement de sa cause à effet directe… La vie intra utérine de l’enfant viable et pensant, au moins dès le cinquième mois de la grossesse, ne manque pas de force entre lui et sa mère, le couvant : le lien maternel… « Son cérébral grossit ainsi que sa perception de sa vivacité pensante »… Ni la mère ni l’enfant « pousse » à se séparer : le corps de la mère est contraint « d’expulser » l’enfant pour l’en faire sortir… Il y a une certaine violence « Dame nature » quand à cette expulsion non voulu de l’enfant… Un déchirement et une rupture : celui du lien maternel… Il y a un contraste entre la vie intra utérine et le moment dans l’après vie extra utérine… On en espère : une envolée plutôt qu'une chute... L'après naissance implique l'usage de plus en plus du corps dedans lequel le For intérieur de l'enfant... D'une certaine indépendance dans le corps Mère pour ensuite ressentir une dépendance d'un corps, fait de bras et de jambes ainsi que le besoin de le nourrir, se fait sentir dans l'après naissance... Un bien comme une contrainte intérieure : ceci dépend du comment on le perçoit dans l'après naissance...
-L'autisme ne se situe pas seulement dans l'aussitôt après le moment naissance : dans les 3 premières années... L'autisme est d'abord un rejet de sa naissance exprimé de façon violente à bien des égards et des formes dont ses formes dans leurs expressions apparaissent dans le vécu allant du moment naissance à durant l'âge enfant et adolescents "tes" en passant par des hommes et des femmes donc de tous âges... Il ne se limite pas seulement à aussitôt après la naissance, l'autisme intérieur profond..." mais aussi sous ses formes exprimés extérieurement par des violences sur soi-même jusqu'à sur les autres...
La première Cause à forme la plus visible étant celle ou l'enfant se réfugie en lui-même " phénomène de renfermement intérieur..." : celle ou l'enfant autisme est visible quant à sa difficulté ou refus de communiquer avec son entourage général! L'expulsion violente de l'Utérus en est la cause à effet direct... La vie intra utérine n'est pas une petite vie toute courte durant cette intra période... L'enfant n'est ni sourd ni aveugle à sa manière... La mère le couvant ressent l'enfant en elle : l'enfant communique avec sa mère... Le principe de communication est multiple sous bien des aspects... La force laquelle à l'âge bébé il peut de par son "For intérieur" rejeter l'extérieur qu'il découvre va jusqu'à exercer par sa volonté une contrainte de force suffisante pour interférer sur la croissance de son cérébrale neurologiquement... Une poussée ou apport en neurone apparaît anormalement supérieure à la moyenne normale dans la croissance pour ensuite rattraper une croissance bien que normale mais d'un cérébral éprouvé et mal "inter connecté"...
Une deuxième forme à effet est cette enfant " plus garçon que fille" qui se frappe rythmiquement assis contre les parois de son petit lit entre l'âge de 12-14 mois jusqu'à vers ses 4 à 6 ans : "réclamant eau ou manger ou non en laisser aller...". Phénomène qui disparaît d'une manière "acceptée" ou en apparence après cette période passagère enfant... Il ne cherche pas à communiquer avec sa mère mais plutôt réagir à un manque comme le son de la respiration ou comme celui du muscle cardiaque quand il était dans le corps de sa mère... L'intra vie utérine... " On se demande pourquoi tel personnes à plus le sens du rythme que d'autres..." Une vie intra utérine avec des rythmes perdus après sa naissance... A ne pas confondre "pour la violence" avec l'enfant "plus garçon que fille aussi..." qui, debout sur son lit, se frappe la tête contre les barreaux de son lit... A traduire ainsi : " Maman laisse-moi sortir ou je veux sortir de cette cage..." : Un enfant qui réclame une liberté et il se fait comprendre... Une autre violence ou imposante exigence.
Une troisième étant celle d'un garçon "plus fréquemment qu'une fille" se montrant violent avec sa mère pour ensuite lui réclamer ses bras... Il l'a rejette tout comme il l'accepte d'avec sa tendresse! Il l'a repousse pour ensuite la réclamer...
Une quatrième forme est celle visible chez l'adolescente mais mal comprise sous l'apparence d'une anorexie apparaissant dans le début de l'adolescence : retenir sa croissance n'est pas chercher à "contenir" sa silhouette... Il y a mimétisme entre les deux formes de privation alimentaire : L'une est la cause ne pas grandir " l'autisme grand G" et l'autre la cause ne pas grossir "l'anorexie petit g"... Il y a une nuance entre les deux aspects d'un même effet secondaire qui est la privation alimentaire... Garder une belle silhouette de femme et vouloir rester petite fille même : il y a une nuance... Il y a aussi des garçons mais autrement tardivement dont l'anorexie apparaît à l'âge adulte... L'incompréhension règne dans ce monde!
La cinquième et tout aussi malheureuse est celle ou des adolescents " plus les garçons que les filles..." vivent mal la transition entre l'âge enfant et celle adulte par l'intermédiaire de l'adolescence où la psychologie comme le corps y est mis à l'épreuve... Une rupture dramatique peut survenir durant cette période comme celle de se faire "partir" ou fuir la vie... Toutes les existences ne sont pas forcément acceptées dans ce monde...
Une sixième est celle où certains hommes "un groupe dans la population " frappent leurs femmes pour un rien mais pour reprocher à sa femme ce qu'ils reprochent à sa mère qui l'a couvé : sa naissance... Il y a ce mimétisme dans l'apparence d'une femme et d'une mère : elle a la même apparence pour l'homme d'âge enfant et possèdent l'utérus... A la lumière d'un homme qui frappe sa femme se cache l'ombre de sa mère qui l'a couvé... La femme aussi y est allée dans : l'Utérus... Ce n'est pas de sa faute s'il y a cette poussée des naissances : Dame nature nous fait naître pas la femme...
L’autisme dans sa forme violente touche une proportion non négligeable d’homme le monde et dans presque tous âges adultes : cette violence et son origine est la principale cause de la femme battue dans le monde et de son rejet sur le plan « Politique »…
Le graphisme, ci-dessous, regroupe les étapes de croissance avec quelques effets secondaires mis ensemble ou en un seul graphisme séparables selon la répartition de l'effet dans ces étapes : Chaque moment, " que j'appelle moment de chute..." sont désignés avec la flèche bleu plié vers sa mémoire arrière ainsi que celles rouges...
Ce fond Bleu avec texte noir, bleu foncé, jaune ou rouge est fait pour atténuer le trop fort contraste blanc dans les yeux le soir...
Effet de réduction de la fatigue optique et nerveuse imputable à l'exposition de trop de lumière en fin de journée, le soir et la nuit...
Pertinence en :
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Attention aux traductions machines qui sont loins d'être fidéles au sens des textes fait dans le language original " Ici, Le Français.
