Contexte et domaine : La Psychologie…
"L'invention" du tabac et de toutes ses façons de le fumer a fait et continue à faire des dégâts... Même si c’est l’alcool qui se situe dans les premières « chimies » faisant le plus de dégâts dans le monde…
Pour comparaison…
-Dans l’ordre des addictions dangereuses : comptant parmi les premiers fléaux « humains » sur Terre…
Remarque et constat : ces sept addictions portent atteintes néfastes aux enfants d’abord comme ensuite pour les adultes avec non pas les mais des adultes pour causes…
En 1 : le sexe…
En 2 : « Le pouvoir… »…
En 3 : L’argent « L’or »…
En 4 : l’alcool…
En 5 : Le sucre…
En 6 : La cigarette…
En 7 : Les drogues dites « dures »…
Cependant, l’intention dans cette page, est de démontrer d’abord les trois causes se distinguant quant à ce « besoin » de fumer…
Le terme fréquemment employé est : « Addiction » au tabac ou « dépendance »…
Dire que le tabac est apparenté « systématiquement » à ce qu’est la drogue « directe » a une grosse part fausse…
Il a sa part mais pas entièrement en raison des autres emploies de la fumerie…
Le sens du terme « addictif » n’est pas synonyme « systématiquement » : d’une causalité imputable à un effet de drogue directe…
Par exemple, personne ne se drogue au « sucre » mais un trop besoin de sucre par plaisir « gustatif » est bien présent à tout âges… Mais il ne faut pas désigner le sucre comme étant une drogue pour autant : il a sa part mais pas en toutes parts…
Le sucre est d’abord un plaisir « buccal » et non : « neuropsychologique »…
Dans ce cas on ne parlera pas de « drogue neuropsychologique véritable » mais « bucco-sensitif » : sans en vouloir forcément allant de l’estomac en tout l’organisme jusqu’au cérébral mais juste le sucre sensitivement en bouche…
Bien sûr qu’il y a une sérieuse « addiction » au plaisir dans toutes ses formes dont la moitié est mauvaise, désastreuse avec bien des dangers quant à les convoitées…
Il est question dans cette page de faire la distinction entre ces convoitises mais qui n’ont pas de support moléculaire ou neuro-moléculaire générant un besoin ou appel neurologique…
Addiction au plaisir est « connexe » au cérébral mais d’une manière indirecte : Qui ne génère aucun appel par besoin structurel émanant du cérébral direct mais indirectement par pure convoitise psychologique ou « contre poids » ou pour contrer des difficultés dans la vie de tous les jours…
Certains « troubles » du comportement peuvent conduire à manger trop de sucre maladivement entre autres car : la nourriture est en « psychologie comportementale » employable à l’excès comme « refuge » ou « atténuation » ou « lutter contre des contraintes » ou par « compensation »…
Quand une ou des douleurs se font ressentir, on consomme du « Paracétamol » ou équivalent pour les atténuer ou « endolorir » l’effet douleur…
Le « paracétamol » n’en est pas une drogue pour autant mais soit : un atténuateur de douleur ; un compensateur pour un bien être…
Le tabac a sa part en tant que « drogue dur » mais le système nerveux « la nervosité autre que la neuro-drogue » ou les soucis ont aussi leurs parts quand à se « réfugier » dans la fumerie… La nicotine est un atténuateur de l’angoisse mais de faible intensité du fait que son besoin s’évacue vite : quelques jours…
Dans ce cas on parlera de l’angoisse d'une personne et non d’un véritable besoin de « compenser » en fumant du tabac…
L’angoisse est psychologiquement « chassable » autrement qu’avec du tabac rendant inutile les « patchs nicotiniques » quand cette angoisse est perdurant…
En calmant le système nerveux comme en chassant les soucis : une « aise » quant à pouvoir arrêter de fumer peut vous venir… Ceci est une question de « conditions intérieures et environnementales »…
Mais dans ce cas, la cause n’est pas par drogue mais : soit pour causes nerveuses soit pour causes des soucis par exemple ; des craintes ; de l’appréhension et l’angoisse…
Remarque :
-Ce qui distingue la peur de l’effet angoisse est que la peur n’a pas de support moléculaire qui elle émane de la psychologie pure et directe par opposition à l’angoisse qui, elle indirecte, a bien un support moléculaire généré par le cérébral « généré génétiquement » : la molécule de « l’information angoisse" appartient à la « mémoire neurologique sensitive »…
-Ce qui distingue ces autres « inducteurs » de drogue comme l’héroïne et la cocaïne de la réelle drogue qu’ils provoquent et non qu’ils sont eux-mêmes est : Ils forcent le cérébral à produire les siennes de drogues comme l’endorphine…
En fait, la personne se laissant aller à consommer de l’héroïne ou la cocaïne ne se rend pas compte qu’en fait : elle induit et contraint « la surproduction » les drogues naturelles présentes dans le cérébral comme donc l’endorphine entre autres…
En ce sens soit l’héroïne ou la cocaïne ne sont pas véritablement des drogues « directes » mais c’est l’effet de faire « par induction » produire ce que le cérébral produit déjà à faible dose chez les formes de vie cérébrales…
Ceci dit pour bien comprendre la distinction entre « inducteur indirect » de drogue et la drogue directe elle-même…
Tout autres inducteurs indirects soit naturels ou artificiels sont potentiellement recherchés pour la même répercussion au niveau des drogues qui elles sont générées naturellement par le cérébral…
Une personne qui consomme de trop d’endorphine, quel que soit la manière dont elle l’introduit dans son organisme, est droguée de la même façon que si elle consommée l’héroïne ou la cocaïne… Même effet ; même impact : la même accoutumance ou addiction sans l’héroïne ou la cocaïne …
Toujours est-il ici que ce sont les causes qu’ils faillent comprendre avant de parler de « drogue » générant une addiction…
Cause ; cofacteur de cause : effet secondaire de la cause ou, par déformation, le cofacteur sur et par la cause employée ou forcée pour l’effet secondaire…
En ce sens, l’intention de la cause n’est pas mauvaise mais c’est sa déroute et emploi contourné qu’il l’est…
Le terme « addiction » doit être un peu plus à préciser afin de pouvoir distinguer d’autres causes non-addictives pour éviter l’effet méprise et surtout : le mimétisme…
Un psychologue n’est pas tenu d’accepter le terme « addictif » à répétition pour toutes les fumeries même excessives ; pour toutes surconsommations de sucre encore moins qu’en soit le système nerveux soit les soucis soit « l’inquiétude » soit l’angoisse sont en causes générant ces effets de surconsommer pour « compenser » ou « s’y réfugier »…
Les deux extrémités dramatiques associées à la nourriture sont : l’Obésité et l’Anorexie… Décrit en page sur l’Autisme…L’Obésité « pour part » comme L’Anorexie « dans cette même part » et en dehors d’autres causes sortant de cette « part » sont deux extrémités d’une même cause, deux effets se rencontrant en une seule cause mais à deux effets vues par les deux yeux contrastants dans l’apparence, mais de même « contre sens » en lutte ou rejet contre le Sens se voulant grandir…
Sinon les gourmands « en plus grand nombre » qui ne sont pas des « gourmets » pour autant se laissent aller pour ces « sensations » gustatives « papilles gustatives en bouche » à trop en consommer… Un trop de plaisir en bouche mais au détriment des conséquences dans l’organisme…
Ici, pour parler des Papilles gustatives : la troisième cause…
Les Papilles gustatives sont l’une des trois causes de fumeries au tabac…
Le Fait, je dis bien ! Le Fait, de rajouter des « gouts » ; de « l’acidulé » ; du « sucré » dans le tabac indique que d’autres addictions dangereuses sont employées pour rendre plus fumeur le consommateur de même que d’en attirer d’autres non-fumeur… Dans ce cas, la fumée est surtout recherchée « en bouche » sans trop forcément l’envoyer en plein poumons…
La deuxième cause étant donc de rechercher « des sensations » dans la fumerie et sa petite drogue… Dans ce cas, le fumeur inspire à plein poumons la fumée… Ce fumeur est un fumeur Pulmonaire…
La première cause est nerveuse…
Quand une personne plonge dans le tabac alors qu’elle a un problème nerveux, cette personne aura forcément un mal fou quant à tenter d’arrêter de fumer… Prise par ses nerfs en étant fumeur : le tabac se fera son « calmant » malheureux…
Fumeur mais « en bouche »… Sentir « le goût » dans la fumée en-même la bouche même si envoyée dans les poumons sans forcément vouloir aller jusque-là… Bien que la fumée y va quand même, il s’agit ici que la personne recherche d’abord dans le gout de la fumée et non dans ses poumons pour autant…
Fumeur mais « bronchial »… Qui envoie de la fumée vers son poumon avec une retenue à forme de rejet rapide de la fumée rentrante… Ce fumeur ou fumeuse est peu « pulmonaire » ou rejette vite la fumée sans trop qu’elle remplisse les poumons… Le cancer des « bronches et petites bronches » sont fréquents chez ces personnes…
Fumeur mais « pulmonaire » : plein poumons… Le cancer du poumon au niveau des « alvéoles » pulmonaire et en-même dans le poumon et fréquent chez ses fumeurs…
Les zones sites d’émergences de cancers sont associées « au comportement » dans la plupart des cancers dont ceux allant de la bouche, les bronches, les petites bronches jusqu’à dans le poumon chez les fumeurs fumeuses…
Il est à préciser dans cette pertinence que le tabac reste un fléau majeur aux multiples conséquences même si celui-ci contient un peu « d’impertinence » quand même bien qu’il y a d’autres méthodes employable sans ce tabac dans ce qui suit…
Il y a dans le tabac des traces présentes et à faibles dose : d’arsenic…
L’Arsenic est d’abord un poison : question de dose suffisante pour être empoisonné…
Cependant qu’a très faible dose supportable dans l’organisme humain : il aide à contrer certaines leucémies jusqu’à les guérir… Ceci signifie qu’un fumeur ou une fumeuse reçoit donc de faibles doses d’arsenic ayant un effet préventif contre quelques leucémies…
La leucémie aiguë promyélocytaire est soignée avec de faible dose d’arsenic mais en traitement hospitalier et évidemment sans tabac… Un fumeur ou une fumeuse devrait avoir un faible risque de contracter cette forme de leucémie… Ceci ne veut pas dire qu’il faille fumer de même que : il ne faut pas se rassurer de fumer ou d’en faire une excuse !
Ceci est le principe d’un fort et grave mal d’abord mais n’ayant et que peu de bien mais que l’on trouve ailleurs et sans mal…
Selon CRIPUS :
Ce qui distingue « le préventif » du « curatif » est que le préventif est employer pour « anticiper » se situant « avant cause » alors que « le curatif » est employé après cause pour traitement d’un mal acquis…
L’arsenic n’a pas à ce jour de cause et d’emploi « préventif » : il est seulement « curatif »…
Pourquoi cette remarque ?
Un forte dose sur une courte durée se faisant empoisonnante à un parallèle quant à une faible dose mais sur une longue à trop longue durée : dans ce cas c’est la longue durée qui elle serait dangereuse…
Ceci dit pour éviter d’employer de l’arsenic mais à très faible dose tous les jours prétextant un effet préventif : de cette façon ce n’est pas certain…
Pour information est source quant au traitement à l’arsenic de cas de leucémie ici :
A vos réflexions sur le sujet tabac…