La vitesse de la lumière aussi appelée : la vitesse de célérité de symbole ( c ) ...
Toutes quantités faite d’énergie s’échappant d’un noyau d’énergie générant une gravité est forcément retenues durant son expulsion jusqu’à s'en échapper quand sa vitesse la lui permet : selon la violence lequel le photon y est répulsée, pour acquérir une vitesse d’échappement suffisante, autrement appelée « vitesse d’évasion » en s’éloignant libre dans l’espace…
-La lumière est comme pour sa vitesse : une interprétation.
- Une considération du passé qui n'a jamais été démontrée à ce jour : " Rien ne peut aller plus vite que la lumière "... La lumière peut aller plus vite qu'elle-même dans le vide : quand elle s'approche d'un astre quelconque et surtout d'un trou noir... Elle est déjà freinée au départ de son émission de tous astres la générant tout comme elle accélère à l'approche d'un autre : expulsée d'un électron, repoussée pas sa même polarité que l'électron mais retenue en s'échappant du champ magnétique d’un noyau nucléaire jusqu’à la gravité globale de l'astre l’émettant... A la surface de l'astre solaire elle s'évade en freinant " ralentissant" jusqu'à la terre... Vitesse d'évasion n'est pas synonyme de vitesse "Apogée" ou vitesse « relâchée » dans le vide pur : non mesurée à ce jour...
Loi fondamentale en énergétique : " toute quantité d'énergie expulsée d'une autre quantité d'énergie générant une gravité subit la force de son attraction qui tend à la retenir ou la freiner en s'y échappant..." Plus grande est la vitesse d'évasion d'une quantité d'énergie plus grande est la force quand à s'en extraire jusqu'au-delà évadée de son champs d'action allant libérée dans l'espace : libre de ce qu’il lui reste en vitesse dans l’espace pur et non à son « maximum »...
Elle ne peut être une constante mais une variante à vitesses variables et non une "fixité : c " constant...
- Toute quantité structurelle d'énergie répulsée d'une structure générant une gravité magnéto dynamique subit la force d'attraction de cette même gravité qui tant à la retenir en la freinant lui conférant si elle s'y évade : une vitesse limite d'évasion fonction "fx" de la force G de G « Gravité de Gauss » la retenant énergiquement ...
Tout astre « un par un », dont la force de gravité y est spécifique pour chaque astre et non répétée d'avec la même force par des astres dont l'énergie varie d'un astre à l'autre, émet une gravité qui lui est propre impliquant que le rayonnement de cette astre ou lumière subissant sa gravité acquiert une vitesse d'évasion après échappement « conséquentielle » pour chaque astre... La gravité étant une force à géométrie « spectrale » variable de par son « alternativité » alors la vitesse de célérité y est tout aussi variable pour chaque force "G" astre par astre l'émettant et non « G » et "c" constant... Sa mesure a été énoncée d'avec l'opinion personnelle comme de groupe individuel et non pas de la mesure vraie claire...
Remarque : La vitesse de la lumière, quand celle-ci traversant une nébuleuse gazeuse de faible densité car dans le vide, baisse fonction de son volume parcouru comme dans toutes densités gazeuses traversées par la lumière ... Pour chaque photon, pris un par un, a une vitesse de déplacement dans l'espace qui lui est propre à lui-même et à aucun autre... Ce qui implique que : chaque photon est univoque avec lui-même " sa structure comme sa vitesse lui est spécifique." mais équivoque entre eux dans leur conception, leur structure comme la vitesse à chacun variant entre chaque à vitesse spécifique pour chacun d’entre eux...
Il n'y a aucune possibilité de trouver ne serait-ce que deux photons ayant rigoureusement la même vitesse ou simplement identique entre eux : une quantité d'énergie n’importe laquelle est identique avec elle-même est à aucune autres même de forme proche ou équivalente... Une somme d'équivalence n'est pas synonyme d’égalité et ne peut être une somme d'identisme... Equivalent univoque n'est pas synonyme d'égalité équivoque...
Une nappe ou "groupement" de photon "lumière" émise au départ d'une étoile et arrivant jusqu'à sur terre : la déformation de cette nappe se prononce ou s'accentue en fonction "f(x)" de sa distance parcourue... Plus grande est la distante plus un écart apparaît entre chaque photon qui pourtant sont émis avec un très faible écart au départ... Il n'est donc pas possible que chaque photon se déplace dans l'espace à la même vitesse ou à une vitesse qualifiée "d'univoque" ou « isotrope » alors que "v" pour la vitesse de déplacement de chaque photon pris un par un varie entre elle pour chaque photon... La lumière à autant de vitesse « intérieure » qui il a de photon la composant dans sa somme…
La vitesse "c" Moyenne d'ensemble de la lumière n'est pas une même vitesse du tout la composant... La somme des "v" n'est pas une seule vitesse pour une seule toute appelée : célérité "c" de la lumière ou nappe d'émission électromagnétique "lumière" qui ne serait pas composée...
Par apport au moment départ d’une nappe de une "seconde" d'épaisseur électromagnétique, constituée d’une myriade de photon émis d’une étoile, selon la distance espace à parcourir pour arriver à la terre pour y être « vue : il peut y avoir des secondes ; des minutes au moins d’écarts entre les photons de départ par rapport à eux-mêmes à l’arrivée… Ceci signifie que quand et non Si » mais quand deux photons partent ensemble d’une étoile, il y a forcément un premier qui arrive sur terre et le second avec un retard pouvant être très important…
Quand l’équivalent de « une minute » d’écart entre le premier photon et le dernier d’une nappe partant d’une étoile alors, selon la distance à parcourir allongeant l’écart, à l’arrivée il peut y avoir : plusieurs minutes d’écart depuis la nappe de départ…
Le "flot" électromagnétique se déforme en s’étirant dans le sens de sa progression dans l’espace qu’elle parcoure…
Si ce principe ne se voit pas sur terre c’est parce qu’il y a un enchainement en flot continuel de photon avec des écarts entre eux se chevauchant émis par toutes étoiles que rien à l’arrivé ne déforme l’image et le spectre électromagnétique…
Des nappes se « chevauches » tout en se mêlant ou « se mélangeant » ne permettant pas de voir les écarts à l’arrivée…
La visibilité de toute l’étoile reste pleine et entière sans être altérée…
En fait : quand une minute d’émissions de photons part d’une étoile il est impossible de recevoir cette même minute « lumière » à l’arrivée mais avec des écarts se prononçant proportionnellement avec la distance parcourue...
Densité de... et vitesse électromagnétique dite de "célérité" :
Eau : 0,999841 = 225 000 000 m/s ou .225 000 km/s
Air : 0,012 = 299 792 458 m/s ou 299 792, 458 km/s.
Vide : 0 = 3?? ??? ??? m/s supérieure à 300 000 000 m/s ou 300 000 km/s
La vitesse de célérité a été mesurée sur terre et dans l'air à l'aide d'un laser...
Depuis, les scientifiques ont conservé la mesure mais qui n'est pas dans le vide pur ou par rapport au vide pur : celle-ci est à ce jour ignorée mais forcément supérieur à 300 000 km/s...
« 299 792 458 m/s ou 299 792, 458 km/s dans la densité de l’air au niveau du sol… »