(Grand collisionneur de hadrons « particules » en français)
- Toutes structures faites d’énergie contenue dans un champ magnétique se déplaçant dans un accélérateur de type « circulaire » subit la force cinétique centrifuge de celui-ci ainsi que les champs magnéto électro dynamique laquelle structure d’énergie n'importe laquelle la traversant y est exposé…
Le terme « ultra vide » ne peut s’appliquer dans un volume vide d’air ou équivalent mais d’une densité électromagnétique élevée alternée non continue… « Il n’existe pas de champs magnétiques dit : continu ou de constante de champs permanent magnétique… » Tout champ électromagnétique « gravité incluse » est forcément de type alternatif ou à géométrie alternée fréquentielle variable dans le temps et progressive dans l'espace…
Qui ne peut être de mesure ou de force fixe comme : « La force gravitationnelle en s’éloignant de son noyau générateur comme le soleil baisse en force proportionnellement inverse au carré de sa mesure » : Faux ! Si celle-ci et considérée uniforme et de mesure fixe quel que soit l’endroit de son pourtour où l’on se place par rapport à son centre qu’il l’émet vers son extérieur…
Il y aura toujours un effet « plus |±| moins » généré gravitant autour de chaque noyau fait d’énergie générant une gravité : une mesure fixe se désigne sous la forme « neutre » impliquant aucune positivité-négativité ou fixe de mesure continuelle et neutre de toute variation donc une constante "G" continue fixe… Il n'y a pas de "Gravité Gaussienne" continue dans l'espace...
- L'électro « alternativité » dynamique n'est pas synonyme d'électro continuité « dynamique » ou en ce sens la dynamique mesurerait zéro pour statique "fixe" ou neutre...
Un avant rencontre un après ; moment énergie : un après se crée…
Il n'est pas certain à ce jour comme non démontré qu'un choc entre particules, n'importe lesquelles, ont un composé qui les composent se disloquant au moment ce choc de telle sorte que les décompositions en fragments d'énergie après l'impact soit ce qui constituent directement ces particules avant le moment éclatement... La violence n'étant pas un langage... Un accélérateur de particules ne fait qu'éclater une structure en fragments dont il n'est pas prouvé à ce jour que chacun de ces fragments sont ceux ayant appartenues et composant une structure complète, comme le neutron, avant son éclatement dans une violence démontrant non pas la décomposition mais en compose d'autres nouvellement constituées par des dérivées fragmentées dues à l'effet impact dans l'après-choc d'énergie... L'après-impact se nomme : hypothèse, dérive scientifique ou supposition et non une théorie encore moins un fait... Si tout ce qui est : lepton, méson et autres sont la conséquence des accélérateurs de particules "non observées ailleurs ou en dehors d’eux-mêmes… " ; alors il n'est pas certain qu'elles soient existant ailleurs que dans seulement ces accélérateurs ; que produire artificiellement des sous-structures de celles composant l'atome ne signifie pas qu'elles sont existantes dans l'espace " énergiquement " comme des particules qu'on peut qualifier d'universellement vraies mais que dans et nulle part autre quand même seules boite crâniennes... Un accélérateur de particules n'est pas forcément un instrument de mesure vrai car il peut être tout aussi faux dont l'écart entre le faux du vrai y est tout aussi étroit... « Si « c » de « a+b » peut être vrai dans une part d’avantage, il a aussi pour son autre part l’inconvénient de désigner aussi ce qu’il y a de faux… » : Ceci dépend du comment on s’en sert…
Le soleil comme toutes étoiles fabrique des fragments d’énergie ayant appartenu à l’atome constitué, mais dont ces fragments n’y sont pas forcément intégrés aux constituantes de l’atome mais nouvellement constitué de par la désintégration d’aussi bien le neutron que le proton… De nouveaux fragments dont la durée d’existence y est très courte ou très peu à aucunes nous arrivent du soleil à la terre du fait du parcours espacent soleil - terre dont la distance y est mesurée d’appellation « Une Unité astronomique « 1ua » ou « 150 millions de kilomètres » trop longs pour que des sous-structures de courtes durées d’existence soient détectables…
Le Mur ...
Deux structures comme « des neutrons ou protons ou équivalent" se percutant l'une contre l'autre peuvent générer de nouvelles sous structures dans l'après impact se distinguant de celles d’avant les constituants de ces deux structures...
Le terme « particule » ne s’applique pas à celui de structure de même qu’une structure n’est pas matière comme l’eau n’est pas liquide ou l’air n’est pas du gaz l’une l’autre dans l’optique : ceci est une question de précision dans les désignations…
Il y a ambiguïté dans les mesures les rendant : Incertaines!