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Si « la lumière » d’une étoile est perçue « normalement » ou sans difformité à l’arrivée depuis son émission : c’est parce que vous captez plusieurs nappes décalées ou un mélange électromagnétique ; constitué d’une multitude d’écart d’émission ; perçu en une seule visibilité allant de l’œil organique à toute sorte d’œil technologique comme tout type de télescope…
Une visibilité d’un ensemble cohérent est maintenue…
Chaque photon répulsée de l’électron d’une manière violente mais qui n’est pas une force constante de violente répétée de même force pour tout photon…
Plus la violence laquelle l’électron expulse un photon est grande plus il est violemment projeté dans l’espace…
Dire qu’un électron dans sa « périphérie » éloigné du noyau d’un atome et celui si situant au plus près du noyau ont la même force d’expulser des photons est faut : il y a deux intensités à forme de violence entre ces deux électrons et donc la vitesse des photons qu’ils émettent…
La violence d’émission de photon change avec l’altération du champ magnétique émis par le noyau de l’atome allant de sa périphérie vers la proche orbite autour du noyau…
 


Vous ne pouvez pas avoir un « groupe » de composé allant chacun à sa vitesse égale à une vitesse en une mesure pour tout le groupe… Chaque composé d’un tout n’a pas la vitesse mesurée du tout égale à ses composantes petites « v pour vitesses individuelle » multiples de « V moyenne le tout groupe »…
V moyenne égale à n’importe laquelle « v » composante en-même de cette moyenne est une impossibilité et une inexistence sauf que pour représenter une « image V moy » de l’ensemble ou somme des « v »…
 

Par exemple :
Si je prends une vitesse d’un des « b ou un photon » parmi la somme « Flot » des « b », je la mesure et en extrait cette vitesse de lui seul : b1 = 299 792 450 m/s…
Je prélève un second n’importe quel « b » dans cette même somme pour mesure de la vitesse de ce second et lui seul : b2 = 299 792 466 m/s…
J’en extrais de ces deux seules mesures, la « vitesse moyenne » selon cette arithmétique de : La moyenne se mesure par (|a + b| / 2) = ma ou (|b1 + b 2| /2) = « A » ou A moyenne…
Donc : (|299 792 450 + 299 792 466| / 2) = 299 792 458 m/s
Pour que deux « b » on obtient la moyenne « A » de la vitesse des deux « b » mais, dans ce cas : « A » en tant que vitesse directe est une mesure fausse…
Elle ne désigne que l’emballage des deux vitesses sans être une véritable vitesse "aquise" elle-même… « A » n’existe pas mais les vitesses des deux « b » Oui.
« A » ou une moyenne arithmétique « ma » est d’abord « un emballage en forme numérique » dont la valeur ou mesure n’est ni « vraie » ni « réelle » mais une simple valeur représentative ou une « image »…
Pour la mesure en valeur « rapprochée » :
La mesure de la vitesse moyenne de la lumière se mesure par « ses deux extrémités divisées par deux » ou « l’élément « Photon » ayant une vitesse la plus lent ajouté au deuxième le plus rapide que l’on divise le tout par deux » pour en extraire la vitesse entre ses deux extrémités…
( b1 lent + b2 rapide ) / 2 = A ou ( v1 + v2 ) / 2 = V neutre…
Forme de mesure ne contenant que deux éléments par opposition à une « moyenne arithmétique » qui elle en comprend un groupe important dans un ensemble à tout l’ensemble si connu…
« La somme de deux extrêmes divisé par deux pour en obtenir « leur milieu »…
 
Je prends l’un des « b » dans ma main gauche et le second « b » dans ma main droite pour les comparer, Oui, mais je n’ai pas de troisième main ou une main entre la gauche et la droite ou main centrale pour tenir « A » car inexistant…
Etonnante remarque…
 
Même si deux ne serait-ce que deux photons émis par une étoile partent ensembles avec un extrêmement faible écart entre eux, ils ne peuvent arrivés, sur terre par exemple, ensemble tout en conservant exactement le même écart : ceci n’est pas concevable…
L’écart lui-même s’espace proportionnellement au fur et à mesure de le leur progression dans l’espace de même que l’écart se prononce proportionnellement imputable correspondant à l’écart entre leur deux vitesses…
La vitesse « c » pour célérité : qui n’a aucune existence possible.
Vous n’avez jamais mesuré ne serait-ce que la vitesse d’un seul photon d’une manière précise…
Vous n’en avez pas encore la technologie.
L'espacement de prononce faisant apparaître un écart proportionnel à la distance de parcoure... 
5 photons ici pris pour exemple au hasard d'une somme de photon émis d'une étoile jusqu'à la terre...
Forme de ces mêmes photons à l'arrivée dans vos télescopes ou nos yeux...
Forme de la nappe de photon émise d'une étoile...
5 photons ici pris pour exemple au hasard d'une somme de photon émis d'une étoile jusqu'à la terre...
L'espacement ce prononce faisant apparaître un écart proportionnel à la distance parcourue...
Supposez un bref flash de lumière partant d'une étoile « par défaut d'un flot constant » : départ « a » et arrivée « b » …
Supposez qu'on lui donne une forme visible comme ci-dessous en jaune de sorte de voir ce qui en résulte à l'arrivée...
« a » part bien formé mais arrivée en « b » déformé ; très étiré par une part des photons ayant été pris de vitesse entre eux ...
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Ré argumentation :
Un scientifique ne peut pas considérer « l’isotropie » de la vitesse de la lumière en même temps qu’il considère qu’aucune quantité d’énergie n’est identique à une autre.
Ce scientifique serait en contradiction avec lui-même. "a = b" : ceci n'existe pas!
Il y a autant d’intensité de Force Gravitationnelle qu’il y a d’astre la générant…
Il y a autant d’influence comme ralentisseur sur la vitesse de « la lumière » qu’il y a d’astre générant une gravité étant propre et précise à chacun de ces astres spécifiquement comme individuellement…
Il n’y a pas ne serait-ce que deux photons dans un flot de une seconde ou tout autres durées désignant l'épaisseur électromagnétique composé de photon allant à la même vitesse dans l’espace…
Il ne peut y avoir ne serait-ce que deux photons allant à la même vitesse : deux photons partent du même astre en étant proche mais parcoure l’espace en se décalant de plus en plus entre eux du fait que l’un va forcément un rien plus vite que l’autre…
Jamais deux photons n’auront la même vitesse tout générateur d’émission confondu allant de la lampe de poche ; d’un phare ; d’un laser ou d’une étoile.
Ceci n’est pas concevable dans l’Univers !
Pour chaque photon alors chacun sa quantité d’énergie variante entre chaque : jamais deux quantité identique… Il y a toujours un écart ne serait-ce que dans la « composition énergétique » de chaque photon…
La force « G » de retenue de chaque photon émis d’un astre quelconque varie donc ne serait-ce et aussi avec cette écart d’énergie ; de la violence d’émission de chacun ; de la densité d’énergie qui elle étant spécifique pour chaque photon pris un par un.
Energie (e) ; Densité (d) et vitesse (v)…
Pour un photon alors : 1(e), 1(d) et 1(v) spécifiquement…
Pour un deuxième alors 2(e), 2(d) et 2(v) de même mais avec lui-même…
La même chose pour tous photons autant d'énergie (e) et à leur vitesse (v) propre à chacun…
Mesure de vitesse inconnue à ce jour : pas celle-ci...
La Gravité générée par l'astre solaire plie le rayonnement électromagnétique "lumière" quand celui-ci frôle sa surface ou passant sur son pourtour jusqu'à la terre...
Il se produit un décalage de la visibilité des étoiles vues dans le pourtour en arrière du soleil...
Pliure de la lumière en rouge : le photon lui-même...
Perception de la lumière en ligne droite : dans sa prolongation « optique » ou :                                                                              ligne de visée mais courbée...
Progression de l'émission de lumière venant d'étoile en arrière du soleil :
Flèches teintées orangé-rouge... En vert, la gravité "G" du soleil...
Exemple d'altération "par interaction" de la vitesse "composée" électromagnétique en mesure locale...
Dans l'image.
L'image ci-dessous, représente un exemple d'altération provoquée par la Gravité que subit forcément la lumière émise par tous astres comme notre soleil...
Dans cette autre image ci-dessous, Il est « démontrer » qu’il n’y a aucune possibilité que la « vitesse de la lumière » soit « isotrope » ou « de vitesse unique » ou que pour toutes étoiles : la vitesse dite « de célérité » est la même pour toutes…
« L’isotropie » de la vitesse de la lumière « rigoureusement identique » dans le vide de l’espace est une aberration…
L’isotropie est une utopie se faisant l’anti-sens de cette loi universelle qui elle dit : pour toutes choses » toutes quantités d’énergie, rien n’est identique dans l’Univers…
Selon ce que signifie « Isotropie » en son sens : « un photon serait égale à un autre n’importe lequel comme à et en tout autres… » Ou « b1 = b2 = b3 = bn… » Ce qui n’est pas différent de prétendre avoir découvert : « a = b » ? Ceci n’est pas possible.
Conférant pour chaque parcelle faite d’énergie son caractère Unique à elle-même lui-même est à d’aucun aucune autre…
L’énergie dans sa « décomposition » conférant à ces composants le caractère individuel, unique et spécifique à chacun d’entre eux : Le terme, définition et sens du mot « Isotrope » remet en question la définition du caractère « unique » dans ses spécifications…
Un mathématicien qui considère que « a = b » n’est pas concevable comme toutes autres égalités entre deux éléments dans l’Univers ne peut en aucun cas considérer et accepter le terme « Isotrope » en son sens sous peine d’être en contradiction avec lui-même !
Un Photon est identique à lui-même est à aucun autre : même pour sa vitesse qui n’est pas celle « uniquement » pour tous les autres photons…
-Quand 1 photon alors une vitesse qui elle étant propre et spécifique…
-Quand un deuxième photon alors lui aussi à sa vitesse lui étant propre à lui-même toute aussi spécifique et à aucun autres…
-Quand n’importe lequel photon pris un par un alors pour chaque sa vitesse qui lui est propre non identique entre eux entre elles…
Une Somme « ∑ » d’équivalence n’est pas synonyme encore moins égale à une somme « = » d’égalité se situant incluse dans cette somme…
Pour une « somme » d’égalité considérée alors : Qui n’a pas d’existence possible en tant qu’égale dans ou inclus dans la somme mais la somme est égale à elle-même et à aucune autres variantes entre-elles jamais deux sommes identiques…
Le terme « isotropie » quand à la vitesse de la lumière implique l’aberration selon laquelle les photons auraient la même vitesse entre eux : ceci est totalement faux et usage de fausses mesures dans les Lycées, Collèges et les Universités… Du Fait qu’une « nappe » de photon à autant de vitesses qu’il y a de photons constituant cette nappe : la vitesse de la nappe seule et elle seule n’existe pas. Une mesure « Moyenne » est une mesure rassemblant un ensemble de variantes mesures en considérant le tout en une seule mesure mais « moyenne » qui elle n’est « qu’une représentation imagée… » d’un ensemble et non du groupe mesuré détaillé en particulier…
On peut prendre « l’égale » en mathématique pour « englober » la somme « ∑ » mais on ne peut pas placer de une à plusieurs égalité dedans et incluse dans cette somme… Ce signe mathématique « ∑ » n’inclus pas d’’égale « = »…
Vous n’y arriverai jamais ! Vous pouvez essayer !
Un groupement ou Flot ou "nappe" ou un ensemble est fait d’une multitude de photons et donc une multitude de vitesses incluses et seulement incluses dans le groupement composant une somme « ∑ » d’un ensemble électromagnétique ou une nappe électromagnétique interprétée « Lumière » ou « Célérité »…
Pour se rapprocher de ce qu’est la vitesse d’un Flot électromagnétique donc « composé » de photons et « v » pour vitesse spécifique pour chaque alors on peut si prendre comme suit : 1v + 2v + 3v + 4v… + nombre n des v divisé par le nombre de photon qui est le même que le nombre des "v" = Vcam de la somme pour : Vitesse célérité électro-arithmétique moyenne ou Vcam… La vitesse V d’une nappe est les Vitesse multiples dans cette nappe composant cette nappe : il y a une nuance.
        Du soleil à la terre...        |  En rentrant dans l'atmosphère terrestre et en rentrant dans l'eau...        |  Il y a forcément 3 mesures qui se distinguent...
 
La vitesse électromagnétique ou de "Célérité" n'a jamais été mesurée dans le vide pur de l'espace...
Seulement dans " l'air " et sur terre : il a été obtenue une mesure de : 299 792 458 mètres/seconde mais non confirmée à ce jour comme étant "Vraie"... La mesure est contradictoire et chimérique... Démontrez-vos dire!
Il s'agit d'un "Oui dire" d'apparence ou d'aspect scientifique mais "Non mesuré" véritablement!
 
L'image ci-dessous, représente un exemple d'altération provoquée par la Gravité que subit forcément la lumière émise par tous astres comme notre soleil...
? "..." !
La vitesse de la lumière aussi appelée : la vitesse de célérité de symbole ( c ) ...
Toutes quantités faite d’énergie s’échappant d’un noyau d’énergie générant une gravité est forcément retenues durant son expulsion jusqu’à s'en échapper quand sa vitesse la lui permet : selon la violence lequel le photon y est répulsée, pour acquérir une vitesse d’échappement suffisante, autrement appelée « vitesse d’évasion » en s’éloignant libre dans l’espace…
-La lumière est comme pour sa vitesse : une interprétation.
- Une considération du passé qui n'a jamais été démontrée à ce jour : " Rien ne peut aller plus vite que la lumière "... La lumière peut aller plus vite qu'elle-même dans le vide : quand elle s'approche d'un astre quelconque et surtout d'un trou noir... Elle est déjà freinée au départ de son émission de tous astres la générant tout comme elle accélère à l'approche d'un autre : expulsée d'un électron, repoussée pas sa même polarité que l'électron mais retenue en s'échappant du champ magnétique d’un noyau nucléaire jusqu’à la gravité globale de l'astre l’émettant... A la surface de l'astre solaire elle s'évade en freinant " ralentissant" jusqu'à la terre... Vitesse d'évasion n'est pas synonyme de vitesse "Apogée" ou vitesse « relâchée » dans le vide pur : non mesurée à ce jour...
Loi fondamentale en énergétique : " toute quantité d'énergie expulsée d'une autre quantité d'énergie générant une gravité subit la force de son attraction qui tend à la retenir ou la freiner en s'y échappant..." Plus grande est la vitesse d'évasion d'une quantité d'énergie plus grande est la force quand à s'en extraire jusqu'au-delà évadée de son champs d'action allant libérée dans l'espace : libre de ce qu’il lui reste en vitesse dans l’espace pur et non à son « maximum »...
Elle ne peut être une constante mais une variante à vitesses variables et non une "fixité : c " constant...
- Toute quantité structurelle d'énergie répulsée d'une structure générant une gravité magnéto dynamique subit la force d'attraction de cette même gravité qui tant à la retenir en la freinant lui conférant si elle s'y évade : une vitesse limite d'évasion fonction "fx" de la force G de G « Gravité de Gauss » la retenant énergiquement ...
Tout astre « un par un », dont la force de gravité y est spécifique pour chaque astre et non répétée d'avec la même force par des astres dont l'énergie varie d'un astre à l'autre, émet une gravité qui lui est propre impliquant que le rayonnement de cette astre ou lumière subissant sa gravité acquiert une vitesse d'évasion après échappement « conséquentielle » pour chaque astre... La gravité étant une force à géométrie « spectrale » variable de par son « alternativité » alors la vitesse de célérité y est tout aussi variable pour chaque force "G" astre par astre l'émettant et non « G » et "c" constant... Sa mesure a été énoncée d'avec l'opinion personnelle comme de groupe individuel et non pas de la mesure vraie claire...
Remarque : La vitesse de la lumière, quand celle-ci traversant une nébuleuse gazeuse de faible densité car dans le vide, baisse fonction de son volume parcouru comme dans toutes densités gazeuses traversées par la lumière ... Pour chaque photon, pris un par un, a une vitesse de déplacement dans l'espace qui lui est propre à lui-même et à aucun autre... Ce qui implique que : chaque photon est univoque avec lui-même " sa structure comme sa vitesse lui est spécifique." mais équivoque entre eux dans leur conception, leur structure comme la vitesse à chacun variant entre chaque à vitesse spécifique pour chacun d’entre eux...
Il n'y a aucune possibilité de trouver ne serait-ce que deux photons ayant rigoureusement la même vitesse ou simplement identique entre eux : une quantité d'énergie n’importe laquelle est identique avec elle-même est à aucune autres même de forme proche ou équivalente... Une somme d'équivalence n'est pas synonyme d’égalité et ne peut être une somme d'identisme... Equivalent univoque n'est pas synonyme d'égalité équivoque...
Une nappe ou "groupement" de photon "lumière" émise au départ d'une étoile et arrivant jusqu'à sur terre : la déformation de cette nappe se prononce ou s'accentue en fonction "f(x)" de sa distance parcourue... Plus grande est la distante plus un écart apparaît entre chaque photon qui pourtant sont émis avec un très faible écart au départ... Il n'est donc pas possible que chaque photon se déplace dans l'espace à la même vitesse ou à une vitesse qualifiée "d'univoque" ou « isotrope » alors que "v" pour la vitesse de déplacement de chaque photon pris un par un varie entre elle pour chaque photon... La lumière à autant de vitesse « intérieure » qui il a de photon la composant dans sa somme…
La vitesse "c" Moyenne d'ensemble de la lumière n'est pas une même vitesse du tout la composant... La somme des "v" n'est pas une seule vitesse pour une seule toute appelée : célérité "c" de la lumière ou nappe d'émission électromagnétique "lumière" qui ne serait pas composée...
Par apport au moment départ d’une nappe de une "seconde" d'épaisseur électromagnétique, constituée d’une myriade de photon émis d’une étoile, selon la distance espace à parcourir pour arriver à la terre pour y être « vue : il peut y avoir des secondes ; des minutes au moins d’écarts entre les photons de départ par rapport à eux-mêmes à l’arrivée… Ceci signifie que quand et non Si » mais quand deux photons partent ensemble d’une étoile, il y a forcément un premier qui arrive sur terre et le second avec un retard pouvant être très important…
 
Quand l’équivalent de « une minute » d’écart entre le premier photon et le dernier d’une nappe partant d’une étoile alors, selon la distance à parcourir allongeant l’écart, à l’arrivée il peut y avoir : plusieurs minutes d’écart depuis la nappe de départ…
Le "flot" électromagnétique se déforme en s’étirant dans le sens de sa progression dans l’espace qu’elle parcoure…
Si ce principe ne se voit pas sur terre c’est parce qu’il y a un enchainement en flot continuel de photon avec des écarts entre eux se chevauchant émis par toutes étoiles que rien à l’arrivé ne déforme l’image et le spectre électromagnétique…
Des nappes se « chevauches » tout en se mêlant ou « se mélangeant » ne permettant pas de voir les écarts à l’arrivée…
La visibilité de toute l’étoile reste pleine et entière sans être altérée…
En fait : quand une minute d’émissions de photons part d’une étoile il est impossible de recevoir cette même minute « lumière » à l’arrivée mais avec des écarts se prononçant proportionnellement avec la distance parcourue...
 

Densité de... et vitesse électromagnétique dite de "célérité" :
 
Eau :   0,999841  =  225 000 000 m/s     ou .225 000 km/s
Air :     0,012        =  299 792 458 m/s    ou 299 792, 458 km/s.
Vide :  0               = 3?? ??? ??? m/s supérieure à 300 000 000 m/s ou 300 000 km/s
La vitesse de célérité a été mesurée sur terre et dans l'air à l'aide d'un laser...
Depuis, les scientifiques ont conservé la mesure mais qui n'est pas dans le vide pur ou par rapport au vide pur : celle-ci est à ce jour ignorée mais forcément supérieur à 300 000 km/s...
« 299 792 458 m/s ou 299 792, 458 km/s dans la densité de l’air au niveau du sol… »

La lumière "célérité" et ses vitesses...

Ce fond Bleu avec texte noir, bleu foncé, jaune ou rouge est fait pour atténuer le trop fort contraste blanc dans les yeux le soir...
Effet de réduction de la fatigue optique et nerveuse imputable à l'exposition de trop de lumière en fin de journée, le soir et la nuit...
    Pertinence en :
Le Fief de l'érudition pure!
C.R.I.P.U.S...
Attention aux traductions machines qui sont loins d'être fidéles au sens des textes fait dans le language original " Ici, Le Français.
La lumière
La lumière propulsive
Télescope Spatial
LHC : Collisionner de particules
Géo Hydro Technique
Batteries en consignes
Amortisseur énergie
Multi laser chirurgical
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