En aucun cas ne mettre en cause la « Valproate » ou « Dépakine » : Dépakine seul ne provoque pas "d'atrophiement" cérébrales…
Cette « conclusion » après recherche vient du « Fils » de la patiente qui est aussi l’auteur seul des publications www.cripus.net et donc le fils dont la mère à subit l’interaction générant les lésions cérébrales de la patiente : sa mère !
Ne faites pas l’amalgame entre la Trimétazidine « Vastarel ou équivalent » avec la Valproate du nom de Dépakine…
La Trimétazidine est la molécule et elle seule concernée !
Scanner datant du Mercredi 16 Octobre 2013 et sa conclusion...
"Atrophie cortico-sous-corticale diffuse avec Leucopathie Vasculaire " : depuis l'interaction de la molécule Trimétazidine et la Valproate donc d'origine Toxique...
Les Faits : Entièrement vérifiables de par son « Dossier médical » de ma mère ; « l’IRM » ; ainsi que par un nombre important de témoignages ; Médecins ; personnels soignants ; personnel d’accompagnement ; membres de la famille ; personnel de pharmacie ; ma personne « le fils » ayant vécu à l’adresse de ma mère jusqu’en Mai 2015 ; l’Hôpital d’Avesnes sur Helpe ainsi que celui de Maubeuge ; Caisse d’assurance maladie de la Mutuelle des Cheminots de Marseille dans le cadre des remboursements de Vastarel « Trimétazidine 35mg » et Dépakine « Valproate de sodium 500mg » plus Lodoz : « Bisoprolol » trois médicaments mais deux en causes sur la même ordonnance sur près d’un an et le tout par recoupement synthèse du tout…
-En fin de l’année 2009 début 2010, des symptômes passagers faits de petites « crises ?? » légères apparaissaient chez ma mère : ressemblant à des crises d’épilepsies mais ressemblant…
-En Mars 2010, conduisant ma mère chez son médecin généraliste attitré une fois averti, orienta ma mère vers chez un spécialiste à l’hôpital d’Avesnes sur Helpe pour détecter les crises et leurs provenances… Il a effectué des mesures avec un électroencéphalogramme… Un de mes frères a accompagné ma mère pour cette consultation ; séance durant laquelle des questions sur ce qu’elle prenait en médicament ont été posées : Un médicament « Lodoz : Bisoprolol » pour le cœur et un autre « Vastarel 35 mg » en réponse apporté au médecin d’Avesnes/Helpe… Ma mère se portait bien à ce moment-là : juste cette histoire de quelques petites crises « de cause inconnue sur le moment » plusieurs dans la semaine et non tous les jours et de rares chutes… j’en n'ai vue qu’une seule mais sans négliger une simple maladresse du fait que « sur le derrière » ensuite elle rit de sa chute quand je lui ai demandé ce qu’elle faisait par terre…
Conduite de chez son médecin attitré généraliste vers l'hôpital d'Avesnes sur Helpe en consultation fin Mars 2010...
-Le médecin « examinateur gériatrie d’Avesnes sur Helpe » percevant des « fluctuations », dans la lecture de l’électroencéphalogramme, qu’il n’explique pas, il entrevoit et diagnostique « des crises d’épilepsies… » : Il prescrit « Dépakine » ; Nom de la molécule « Valproate 500 mg »… Le compte rendu texte qu’il a fait « sur papier » est étonnant : il y décrit les effets secondaires « précis » de « Vastarel : la Trimétazidine » sans s’en rendre compte du fait de ne pas avoir lu ou avoir connaissance, comme pour le médecin généraliste, des effets secondaires de ce médicament et, sur le même document : il prescrit « Dépakine »…
Le médecin d'Avesnes sur Helpe n'est pas en cause pour une quelconque faute médicale : ils sont nombreux les médecins à "négliger" de lire la posologie d'un médicament ; je n'ai pas moi-même le fils de la patiente ma mère comme des sœurs et frères lu cette posologie présente simplement dedans la boite de médicament depuis plus que des mois... On n’y a pas pensé sur le coup! L'interaction entre ces deux médicaments n'est à ce jour : pas connue! Ces deux médicaments ne sont toujours pas considérer "imprescriptibles" ensemble! On peut trouver ces deux médicaments ensemble sur une ordonnance à ce jour...
Je l'ai fait mais un an après pour me rendre compte que "Vastarel" provoque le "syndrome de Parkinson" ou "Crise passagère Parkinsonienne"... Je ne puis reprocher de ne pas avoir fait ce que j'aurai pu faire aussi un an avant...
Bien qu'il est de la responsabilité des médecins comme tous médecins de lire la posologie de chaque médicament d'abord...
Chaque patient n'est pas : bio technicien...
-La pharmacie a donc, par l’intermédiaire de l’ordonnance », prescrit mais la forme « générique » de Dépakine d’appellation : « Valproate 500 mg » Nom sur la boite, un cachet pris le matin seulement et pas l'après-midi ni le soir…
-Durant les premières semaines d’Avril par la suite, des « troubles » de l’allocution apparaissant chez ma mère le matin seulement et un reste début d’après-midi rien le soir : Elle parlait suffisamment bien mais avec des « bafouillement » non habituels…
-Fin Avril 2010, une grave incidence imputable à de la « confusion » entre la porte des toilettes avec celle de la cave à faillit couter une grave chute ou écrasement de tout son corps dans les escaliers en ciment de la cave pensant ou se voyant, dans sa confusion, s’assoir sur la cuvette des toilettes… Le fils, ma personne, a eu juste le temps de la rattraper au moment où elle se « penchait » pour s’assoir mais au pas de la porte ouverte de la cave : le derrière vers les escaliers en pleine « confusion » tenant un rouleau de papier toilette et en ayant baissé sa culotte… heureusement que j’étais présent l’après-midi sinon : elle se serait fracassée sur les escaliers en ciment…
-Cet incident a de suite été rapporté à son médecin généraliste attitré du moment…
-C’est une de mes sœurs qui a conduit ma mère chez son médecin généraliste pour le constat et mesure à prendre…
-Les deux symptômes des problèmes « d’allocution » et celui d’état de « confusion » passagère apparaissaient à ce moment-là : c’est celui de la « confusion » entre la porte des toilettes et la cave qui a été rapporté à son médecin généraliste attitré…
-Le médicament « Valproate » générique a été remplacé par le même mais du nom de marque « Dépakine » prescrit que le matin « 500 mg » et a été déplacé à consommer « un le soir »… « Vastarel 35 mg » était prescrit : un le matin et un le soir aussi…
-Revenant de la consultation, ma sœur m’a fait part des mesures prises par le médecin !
-Remplacement de la forme « générique Valproate 500 mg » par celui de la Marque « Dépakine » avec en plus une seule prise et déplacé le soir : décision prise par son médecin généraliste seul…
-Je lui ai demandé pourquoi le soir…
-Ma sœur m’a répondu, elle pourra s’en rappeler depuis : « Pour que ça passe inaperçu »… Elle devrait s’en rappeler aussi et en témoigner je m’en rappel moi-même!
-Je répète moi-même ce que ma sœur m’a dit le jour où elle est revenue de cette consultation ! Faire passer quoi d’inaperçu ? Malheur pour moi, j’aurai dû mal le prendre le jour même ! D’un médicament générique à celui de marque je n’ai pas réagi tout de suite au fait de la même « molécule » rendue! De même que je connais des personnes qui en consomment sans problèmes ni de confusion !
-Le déplacement et prise de Dépakine 500 mg du matin sur le soir par le médecin traitant n’était pas la solution pour résoudre le problème « d’intolérance » médicamenteuse…
Moi-même le fils comme ma sœur et un frère ou "pharmacien", sur le moment : on n'a pas réagi à "la manœuvre" du médecin attitré...
J'aurai dû arrêter " mi-avril 2010 après deux semaines de Dépakine " sans tenir compte du médecin généraliste attitre de ma mère : complètement "tarée" comme tout aussi "irresponsable"! A vous de me dire pourquoi! Ça coule de source!
Le Médecin généraliste attitré du moment a Doublement engagée sa responsabilité pénale : stade dépassé de fautes médicales!
La nuit ma mère fait comme tout le monde le jour : Elle va aussi aux toilettes... La nuit elle est invisible car seule livrée à elle-même avec les risques maintenus d'aller s'écraser dans les escaliers de la cave pensant s'assoir sur la cuvette des toilettes!
-Celle-ci aurait dû être rapporté ou signalé à son médecin spécialiste prescripteur « de l'hôpital d'Avesnes/Helpe en gériatrie » et à : l’Agence Sanitaire du médicament selon la Loi pour tout médecin…
Je l’ai fait moi-même le 1 et 2 Avril à la pharmacovigilance du CRHU de Lille… Ce n’était pas une petite confusion imputable à la prise de médicament…
-On ne remplace pas une boite générique « verte » par une autre de marque bleue sous prétexte de changement de couleur de boite, de nom ou de marque : c’est la même molécule dans les deux cas !
-Le fait de déplacer la prise de médicament le soir pour « contrer » l’effet « de confusion » et de bafouillement n’était pas recommandé du fait que le soir et durant la nuit : elle dormait seule livrée à elle-même sans « témoin » de l’effet secondaire continuant en se répercutant « déplacé » la nuit… Moi-même ne pouvant pas voir que le problème continuait parce qu’elle dormait… Plus personne pour la rattraper la nuit…
-On ne prescrit pas Dépakine le soir en espérant ou prétendant contrer des dites crises d’épilepsie le matin, l’après-midi et fin d’après-midi mais le lendemain de la consommation…
-On ne prescrit pas ce médicament la veille du jour des crises avec la nuit intermédiaire de la veille au lendemain lequel l’organisme à résorbé Dépakine disparaissant dès la matinée le lendemain… La position et prise de ce médicament le soir après des heures de sommeil, pour espérer contrer des crises le lendemain tout la journée, était déjà une faute de positionnement et prise de ce médicament en « non-sens »… Dépakine est efficace 10 heures à peine 12 heures après sa consommation… 22 heures « c’était son heure de prise » pris le soir et plus rien de ce médicament le lendemain au plus tard 8 heures à 10 heures mais du matin… Ceci est une aberration !
-L’ordonnance, dans ce cas, était "en non-sens" et aberrante !
Le Médecin généraliste attitré a gravement menacé sa patient aller s’écraser la nuit dans la cave ; on lui a fait savoir en plus de laisser les médicaments prescrit générant cet état de confusion ou d’intolérance prenant donc un caractère d’empoisonnement…
-On ne donne pas un anti douleur le soir pour contrer les douleurs du matin et de l’après-midi mais le lendemain…
-Il y a eu accumulation de faute médicales ayant entrainé le processus générant le processus d'atrophie-sous-corticale diffuse en terme employé constat IRM. Visible par l’IRM dès la fin de l’année 2011 « scanners manquant » mais pas celui de Septembre 2013 Hôpital de Maubeuge et pas avant mi 2010! Après et durant des mois de la double consommation de Vastarel et Dépakine… Les deux mais un seulement causes dans le processus de d’atrophie amorcée : la Trimétazidine dans Vastarel!
-Dans ce cas, ce n’est pas la molécule « Valproate 500 mg » prescrit qui est en cause soit sous la forme « Générique » ou de marque « Dépakine » ni même « Vastarel » séparément… Il s’agit ici que deux molécules qui n’auraient jamais dues être prescrites ensembles sur de longs mois sur la même ordonnance alors que l’une provoque : Le syndrome de Parkinson et l’autre pour contrer des « dites » crises d’épilepsie…
-Les deux prescriptions sont contradictoires entre elles par : « l’effet de mimétisme » entre deux types de crises…
-« Dépakine » n’aurait jamais dû être prescrit tout comme « Vastarel » seul en cause aurait dû être arrêté : c’était la mesure médicale à prendre au moment où le syndrome de Parkinson apparaissait… La mesure était connue du monde médical au moment des faits indiqués dans la posologie « effets secondaires » de Vastarel !
-Ces deux médicaments ont donc été présent sur la même ordonnance, dans le même cerveau, durant plus de un an avec renouvellement « répétition de la même faute » de l’ordonnance de ces deux médicaments tous les mois par le médecin généraliste attitré ainsi que le deuxième spécialiste, pour le suivi sur plusieurs années, de l’hôpital de Maubeuge…
-Aucuns médecins, Le médecin attitré et les deux spécialistes n’ont eu le réflexe de lire la posologie du médicament Vastarel pour se rendre compte que le problème venait que de ce médicament dès le départ !
-La chaine de télévision « Information TF1 » a fait part « Le 10 Avril 2011 précis » que le médicament « Vastarel » avait peu d’intérêt médicalement… Elle date l’arrêt de Vastarel le soir même… Ma personne, le fils, vivant chez ma mère à ce moment, a eu une « réaction » de doute sur ce médicament en sachant que ma mère le consommait depuis plusieurs années avant l’incidence…
-J’ai donc de suite pris la boite du médicament « Vastarel » pour lire : sa posologie…
-J’y ai lu, dans les effets secondaires, que ce médicament provoquait le syndrome de Parkinson… C’est ma personne, le fils, qui a arrêté immédiatement ce médicament auprès de ma mère en me rendant compte qu’il était en cause quant aux petites crises, un an avant, qui en fait était le syndrome de Parkinson dès le début et non « des crises d’épilepsie » diagnostiqués vaguement supposées… Le médicament « Vastarel » avait été prescrit par un cardiologue des années avant 2010 : Il y a un écart entre un cardiologue « Lodoz et Vastarel » et un neurologue « Dépakine » !
-Le médecin attitré en a été informé en consultation de ma mère accompagnée de ma sœur : elle a souris selon ma sœur accompagnante de sa mère ! Aucun rapprochement entre le syndrome de parkinson et les crises d’épilepsie n’a été fait… Un simple arrêt de ma part sans réaction de la part du médecin et Dépakine maintenu sur l’ordonnance sans suite quant à rajouter « Vastarel »… En somme, j’ai pris l’initiative personnelle de stopper ce médicament accepté par le médecin traitant sans qu’elle prévienne le cardiologue…
-Il est à préciser que « Vastarel » avait fait l’objet de restriction de la part de l’Agence Sanitaire du Médicament : Avril 2010 le mois de Dépakine prescrit, Vastarel était strictement prescriptible que par les cardiologues dans la limité réduit de son emploi que pour « les angines de poitrine »… Ma mère n’était déjà plus concernée par « Vastarel » parce qu’elle n’était pas concerné par des angines de poitrine ! C’est le médecin traitant « généraliste » qui poursuivait la prescription « Vastarel » d’elle-même sans avis du médecin cardiologue l’ayant prescrit avant 2009…
-Il y a dans ce cas : sur prescription de « Vastarel » en laissé aller sans vérifier, sans se renseigner, sans suivre l’actualité ainsi que ces restrictions sur ce médicament entretenu par le médecin généraliste et elle-seul sans renvoyer sa patiente ma mère vers le cardiologue...
Le Cardiologue n'étant pas au courant sur le moment ni actuellement...
-Ma mère n’avait et n’a jamais eu de crise d’épilepsie mais victime d’effets secondaires de la prise répétée depuis plus que quelques mois du médicament Vastarel 35 mg une prise le matin et une le soir : les crises ont débuté dans l’âge de ses 75 ans…
-Du médecin de l’Hôpital d’Avesnes/Helpe Gériatrie, examinateur et prescripteur de Dépakine ; le médecin généraliste consultant attitré généraliste et le second médecin spécialisé en neurologie qui a pris la suite comme consultant "suivi depuis l'hôpital de Maubeuge et en première consultation en septembre 2010 Le Docteur spécialisé en Neurologie une fois par an : aucun d’entre eux n’ont lu la posologie du médicament « Vastarel » pour l’arrêter ni même d’arrêter Dépakine…
En première consultation dans le cadre du suivi après l'hôpital d'Avesnes sur Helpe, le médecin Neurologue spécialiste de l’hôpital de Maubeuge a été informé par ma personne et ma mère "elle parlait bien à ce moment" de la confusion entre la porte des toilettes et celle de la cave en état de confusion depuis Dépakine : les mesures prises par le médecin généraliste aussi! Dépakine d'origine le matin déplacé par le médecin attitré en un et un seul le soir... Pas de réaction de sa part! Un Neurologue qui ne sait pas que Dépakine le soir n'a pas d'action le lendemain après-midi...
-Seul, ma personne, le fils, a pris soin de lire et de comprendre la cause des crises « Parkinsonienne » de ma mère…
-Le médecin neurologue de l’Hôpital de Maubeuge qui suivait l’état de santé de ma mère a toujours continué de prétendre soigner ma mère des dites : crises d’épilepsie allant jusqu’à remplacer « par doute » le médicament « Dépakine » par celui de Nom « Neurontin » en fin d’année septembre 2013…
-En Novembre 2011, j’ai fait savoir que « Vastarel » provoquait le syndrome de Parkinson : il ne m’a pas écouté !
-Il ne connait pas, en tant que neurologue, ce qu’est : « le syndrome de Parkinson » !
-J’étais présent durant la consultation avec ma mère. Le médecin spécialiste neurlogue continua à prescrire Dépakine et en Octobre 2012 continuant de prescrire Dépakine, un le soir, doublant la dose en deux le soir durant l’année 2012 à 2013…
-Dans les consultations de 2011, 2012 et la dernière de 2013, je rappelai à chaque fois que « Vastarel provoque le syndrome de Parkinson »… Le médecin généraliste nouvellement attitré "non en cause" ayant pris la suite de l’ancien médecin généraliste en Juin 2012, peut vous confirmer aussi bien pour Dépakine que de son remplacement par "Neurontin un le soir aussi " ainsi que dans son compte rendu de la consultation "Septembre 2013" dans lequel : il suppose "Alzheimer"...
-Il répondait en disant : qu’il n’a pas lui-même prescrit « Dépakine »… Ma mère ressortait de son cabinet médical avec une nouvelle ordonnance avec « Dépakine » un mais toujours le soir pour des « crises » déclarées que les après-midi ou pour le lendemain après-midi… Il ne l’a pas prescrit en entrée de consultation mais il le re prescrit quand même en sortie avec un « bon » pour un an de plus… Une consultation par an… Il n’a pas prescrit Dépakine d’entrée mais il le fait quand même en sortie…
Il n'a pas prescrit en même temps qu'il prescrit quand même...
-Le médicament « Dépakine » prescrit début 29 Mars 2010 ; a continué d’être prescrit par le Docteur Neurologue de Maubeuge en Septembre 2010 ; en Septembre 2011, Octobre 2012 et septembre 2013… Les dates sont de mémoire à un mois près : une simple vérification précisera les dates mais déjà conformes à un mois près… Une consultation par an chez ce médecin allant de fin 2010 à fin 2013 : juste 4 consultations de 30 minutes ne faisant que de discuter ou en simple conversation avec ma mère en tout !
-L'Atrophie-sous-cortical commence à apparaître que fin de l’année 2011 "de mémoire d'avoir lu un compte rendu" vu par des scanners « IRM » et d’autres faits par la suite effectués à l’hôpital de Maubeuge ! Enregistrement de l’Imagerie à Résonnance Magnétique à l’appui… Nous n’avons eu que de simples constats d’atrophie cérébral en plusieurs IRM : sans explication de sa provenance !
-Le temps, 9 ans depuis le début de la suite et accumulation de faits, se retourne contre le primo diagnostic d’épilepsie qui n’a jamais eu lieu et contre la supposition de la maladie d’Alzheimer qui n’a pas lieu dans l’actuel état de santé de ma mère ! Même à « vu » un médecin ou « une infirmière » peut s’en rendre compte ! L'Atrophie-sous-cortical diffuse avec Leucopathie vasculaire vient bien de quelque part et sans comparaison avec la maladie d’Alzheimer !
-Le « diagnostic » de la Maladie d’Alzheimer est partie d’une simple supposition « verbale » tenue devant ma mère en consultation de novembre 2012… Grave "ouï-dire" faussement médical...
-Depuis cette date, ma mère se laisser aller à lire des « revues » qui en parle de même qu’elle répétait : qu’elle était atteinte de cette maladie entendue par « Oui dire » sans confirmation neuro médicale… Etait par la suis apeurée et craintive d’avoir entendu le neurologue supposer « Alzheimer » en cabinet devant elle…
-Le 16 Octobre 2013, dans le cadre d’une consultation, le médecin spécialiste de Maubeuge envoi un « courrier compte rendu » adressé au « nouveau médecin traitant et attitré de ma mère depuis Juin 2012 et non en cause : mais deux mois après avec, écrit noir sur blanc, qu’il supposait la maladie d’Alzheimer… Le médecin traitant « agacé » par la traine de 2 mois pour lui envoyer un compte rendu de la consultation m’en a fait part puis donner le courrier que le médecin de Maubeuge lui avait adressé… Vous pouvez le contacter : il devrait s’en rappeler ! La « supposition » de la maladie d’Alzheimer a été entendu aussi par les membres de ma famille et perdure depuis comme « convaincue »…
-Je ne parviens pas à faire comprendre « l’empoisonnement », « Vastarel avec Dépakine » ni même qu’il n’y a pas de maladie d’Alzheimer ; que la perte progressive des bras et des jambes « bras et jambes devenant raides » ainsi que la difficulté de parler ne sont pas les symptômes de la Maladie d’Alzheimer… Pas de bégaiements ; pas de bafouillement mais : la mâchoire qui rebondi donc perte progressif neuro moteur sur les muscle de la mâchoire...
-Le maintien de la « supposition » du diagnostic de la maladie d’Alzheimer provoque est créé, ce qu’en médecine on appelle : « antécédent médical »… Le risque de créer faussement ce genre d’antécédent est de tromper à l’avenir d’autres diagnostics pouvant toucher d’autres membres de ma famille auprès de leurs médecins par des «mauvaises associations »… Il y a donc à revoir et rassurer les membres de ma famille que pour le moment : il n’y a pas de précédent de la maladie d’Alzheimer connu dans ma famille auparavant…
-Après collecte d'information sur l'état de santé de ma mère et son origine, des "accusations" pourront être émis pour:
Enchainement de fautes médicales, mise en danger de sa patiente par généraliste attitré en 2010 au 10 précis Avril 2011 et de suite pour empoisonnement et défaut de suivi par la suite à maintenant...
Supposé « la maladie d’Alzheimer » est la supposition « quand on ne sait pas : ne pas « s’emmerder »…
Un médecin n’a pas à « supposer » !
Aucun diagnostique « crédible » médicalement n’a été émis sur ma mère la patiente sauf : par le fils depuis le début ou tout commence!
Chercheur et auteur diffuseur de ses publications dans : www.cripus.net
Sans conteste par l’état Français : allez voir la communauté scientifique dans le monde !
Ce primo compte rendu ne fera que se renforcer en collectant toutes les informations plus précises se référant aux étapes médicales et témoignages observés jusqu’à ce jour.